Le langage est la première forme d’oppression. Le langage peut être, comme le dit Toni Morrison, « un véritable champ de bataille, un lieu d’oppression, mais aussi de résistance ».
L’accessibilité de la lutte passe par la labellisation de ses outils : ça va des ouvertures des espaces militants aux plus grands nombres à l’inclusivité de tout·es dans les débats autour de nos manières de lutter. Un point important de cette accessibilité est la compréhension de son vocabulaire.
Ce travail de fin d’études s’articule autour d’un lexique militant, un outil facilitant la compréhension du vocabulaire activiste.